2.21.2006











Ceinturé par les fossés et quelques vestiges des fortifications, le centre historique et ses abords immédiats offrent un large panorama de I'architecture aristocratique, bourgeoise ou rurale du XVe s. à nos jours : maisons à pans de bois de la rue Illiers (XVe s.),hôtels particuliers des rues Rotrou, Parisis et St-Jean (XVIIe et XVIIIe s.), maisons de maître du bd Dubois et de l'avenue Louis Terrier (fin XIXe-début XXe s.),petites fermes du quartier du Vieux Pavé. Le patrimoine monumental, constitué de bâtiments antérieurs à la première moitié du XIXe s., offre en outre d'intéressants témoins d'architecture éclectique, comme I'ancien arsenal des pompes (1902) ou I'hôtel de la Caisse d'Epargne (1895).

Capitale de la tribu gauloise des Durocasses, Dreux était à l'époque Gallo-Romaine, un carrefour routier fréquenté. Au Moyen-Âge, son château, l'un des plus puissants de toute I'lle de France, se dressait comme une sentinelle avancée du domaine capétien face à la puissance rivale des ducs de Normandie. Si la ville a subi, au cours des âges, de nombreux sièges, dont celui d'Henri IV, elle a touiours retrouvé, après avoir relevé ses ruines, une prospérité nouvelle, grâce a I'activité commerciale et à la créativité de ses habitants. Le passé lui a Iégué des monuments remarquables et un centre historique d'un grand intérêt artistique. Sur la colline qu'elle domine, au milieu d'un parc et des ruines de la forteresse médiévale, la Chapelle Royale Saint-Louis est depuis un siècle et demi la nécropole de la Famille d'Orléans. Avec ses trente six mille habitants, Dreux, débordant le cadre de la vallée de la Blaise, est aujourd'hui un centre économique, commercial et touristique très vivant. La vie culturelle, les spectacles et fêtes de rue, les événements sportifs y tiennent une place prépondérante. Autour de la ville, la campagne offre des sites propices a la détente et aux loisirs.
le bénitier dans l'église saint Pierre à Dreux date de 1150













L'église Saint-Pierre à Dreux fut édifiée au début du XIIIe siècle dans le style gothique ogival. Objet d'importants remaniements au cours des siècles, elle offre aujourd'hui au regard un ensemble assez disparate. En grande partie détruite lors du siège de la ville par les anglais en 1421, on rebâtit aux XVe et XVIIe siècle dans le style gothique flamboyant le déambulatoire et les chapelles de l'abside, ainsi que la nef. Au cours du XVIe siècle, on construisit la façade et les deux tours dont l'une, curieusement, est restée inachevée. Puis on rebâtit le bras sud du transept. A l'intérieur, l'église a conservé de très beaux vitraux des XVe et XVIe siècle. A noter également le transept sud qui abrite un buffet d'orgue polychrome remarquable

2.14.2006

auditorium Frantz Listz - fondation Cziffra à Senils (1ère partie)



l





La Fondation Cziffra

Une famille Spirituelle

Généralement les grands musiciens se contentent de jouer de leur instrument pour accomplir au mieux leur métier d'interprête. bien entendu, Georges Cziffra s'est mis au service de la musique,mais ses années de pain noir et de silence forcé l'ont obligé à ne pas oublier que d'autres artistes ont, eux aussi, le besoin vital de s'exprimer, de vivre leu vocation. aussi, depuis son arrivée en france, en 1956, il n'a qu'un désir : se mettre également au service des jeunes. de cette philosophie est née la Fondation Cziffra.

2.13.2006

Boisgeloup (Gisors) village de Picasso de 1930 à 1936











A partir de 1930, à l’âge de 50 ans, Picasso va s’installer à proximité de Gisors dans le château de Boisgeloup, pour créer mais également se consacrer à sa nouvelle passion amoureuse, la jeune Marie Thèrèse Walter, âgé d’à peine 20 ans. Il la représentera dans de nombreuses sculptures et toiles : ce sont ses grands portraits de femmes aux larges courbes du printemps 1932. Pendant sept ans leur relation restera secrète, jusqu’à la naissance d’une petite fille, Maria en 1935. La superficie importante du château va permettre à Picasso de concevoir des sculptures à grande échelle. On doit à cette période (1930-1936) les énormes Têtes modelées (1932), toute une série de travaux monumentaux en plâtre, des œuvres telles que La Grande statue , Têtes de femmes , des sculptures d’animaux surdimensionnées : La Tête de Taureau, ainsi que de nombreux dessins.La période Boisgeloup se termine en 1936 lorsque Picasso se sépare de sa femme Olga. Amoureux de la photographe Dora Maar, il s’installe alors dans son atelier au Tremblay sur Mauldre, puis dès 1941 dans l’atelier de la rue des Grands Augustins à Paris, dans lequel il va poursuivre sa production de grand format inauguré au Boisgeloup. ( article cité sur le web - ville de Gisors)

2.12.2006
















Flânerie dans Gisors














dans le parc de l'hopital




le champ fleuri hopital